Galleria Monteoliveto

ian kingsford-smith

Kingsford-Smith se raconte comme un conteur d'histoires visuel. Les œuvres exposées proviennent de la récente exposition Afterlife à Sydney. Les pièces de poterie et les statuettes font partie des effets personnels et des objets nécessaires au voyage dans l'au-delà. Les eaux-fortes aquatintes encadrées, de la série intitulée Scenes from daily life, font allusion à l'ancienne pratique égyptienne de peindre des scènes de la vie du défunt sur les murs de la tombe. Les objets funéraires sont gravés avec des peintures narratives qui représentent le parcours de vie imaginé du propriétaire de la tombe et la compréhension collective de la condition humaine associée aux cultures égyptiennes et médiévales européennes. Les sources des récits sont très différentes et rendent plus complexe la division entre mémoire individuelle et mémoire collective. Kingsford-Smith combine le récit associé aux dimensions fondamentales de l'expérience humaine (cycle de vie, amour, désespoir, etc.), les rituels associés au culte des ancêtres, enterrement, impact des morts sur les vivants et les représentations mythologiques des relations entre royaumes terrestre et céleste. Il s'appuie également sur des récits contemporains pour mettre en évidence l'impact persistant des anciennes croyances spirituelles sur les temps présents.  Ian a eu des expositions personnelles à Sydney, Florence New York, Melbourne, Auckland et son travail est représenté dans des collections privées et d'entreprises aux États-Unis, en Suède, France, Allemagne, Pays de Galles, Angleterre, Nouvelle-Zélande et Australie.