Antonio Nicola Ciervo
Antonio Nicola Ciervo né en 1953, architecte, vit et travaille entre Naples, Paris et le Sud de la France dans la construction... les projets de batiments et d’urbanisme et la décoration d’intérieur, projets qu’il transpose sur ses toiles. Antonio Nicola Ciervo met sa formation et ses connaissances de la structure des villes sur la route de l’art en exprimant ses idées de plans et de landscape des villes, des façades urbaines, des fronts de mer, où toits, fenêtres, coupoles, rues, jardins et plans d’eau trouvent les formes de l’architecture et les couleurs du soleil et de la joie de vivre; une recherche sur des formes adéquates, où se mêlent les idées d’art, d’architecture et d’urbanisme, ayant le but de faire ressortir son idée de paysage urbain, une sorte de « rêve de vie urbaine », idéale et « coloriste », qui a le désir de nous réconcilier avec l’urbanisme et le chaos des villes modernes. Réalisations aux noms fascinants : « toits dans le Parc » « le village », « sur la terre et sur l’eau » « place carrée », « vol d’oiseau » « New York » , « Landscape » , « Morphologies », « La côte urbaine », « Proiezioni sul Rosso », « Contaminations », « La Diagonale », « Luci », qui interprètent les thèmes des paysages urbains ; dans les couleurs brillantes et lumineuses d’un urbanisme contemporain et d’une ville agréables à vivre.L’ « archiPitturaUrbana », Qu’est-ce que l’archiPitturaUrbana? À le traduire, c’est l’archiPeintureUrbaine, c’est-à-dire, la représentation des villes à travers les idées, le regard et la technique de l’architecte. L’intention de l’artiste est de reconstruire sur la toile un paysage urbain renouvelé, avec ses façades, ses toits, ses placettes, ses rond-points, ses ruelles et ses quartiers où « les couleurs deviennent chaleur », où « on a envie de danser et de chanter »; un monde que certains ont qualifié de « plan de ville en bande dessinée », un système urbain sur deux dimensions où la part majeure est intentionnellement donnée par l’artiste à la structure, à la connectivité et à la juxtaposition des formes et des couleurs en laissant la dimension de la profondité au regard, aux sensations et à l’imaginaire de chaque individu.
